L’Ademe révèle le potentiel des mobilités actives face à la décarbonation, la santé publique et l’économie
L’Ademe publie deux études mettant en évidence le potentiel des modes actifs pour décarboner la mobilité quotidienne, améliorer la qualité de l’air et générer des bénéfices économiques et sanitaires significatifs. Pour la première fois, l’impact économique et sanitaire de la marche sont quantifiés ainsi que le potentiel de la marche et du vélo pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Parmi les chiffres à retenir : 76 % des Français vivent à moins de 4 km d’un ensemble d’équipements essentiels (supermarché, collège, médecin, pharmacie, salle de sport, bibliothèque). En généralisant les meilleures pratiques observées actuellement, la part modale de la marche pourrait atteindre 31 %, contre 24 % aujourd’hui et celle du vélo 8 %, contre 3 % actuellement.
Consulter les études – « Mobilité à pied et bilan socio-économique de la marche » et « Contribution du développement de la marche et du vélo à la décarbonation et à l’amélioration de la qualité de l’air ».
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